On ne comprend jamais rien, ou très peu de choses. Les hommes vivent un peu comme des aveugles, et généralement, ça leur suffit. Je dirais même que c'est ce qu'ils recherchent, éviter les maux de tête et les vertiges, se remplir l'estomac, dormir, venir entre les cuisses de leur femme quand leur sang devient trop chaud, faire la guerre parce qu'on leur dit de la faire, et puis mourir sans trop savoir ce qui les attend après, mais en espérant tout de même que quelque chose les attend. Moi, depuis tout petit, j'aime les questions, et les chemins qui mènent à leurs réponses. Parfois d'ailleurs, je finis par ne connaître que le chemin, mais ce n'est pas si grave ; j'ai déjà avancé.
4 commentaires:
>Philippe Claudel / Le rapport de Brodeck
si ça peut t'inspirer j'en ai une !
personne ne me connait vraiment, tu me penses loveur mais tu as tords.
je suis bien moins que ça, je ne suis qu'un petit con, oui un vrai, jamais satisfait, jamais heureux, je rêve, je ne fait que ça, en accordant ma guitare, je pense a un monde où j'aurais ma place, à mon avenir.
je ne suis pas courageux, je ne suis qu'un glandeur, dans mes yeux reflétant la mer, de l'eau, rien que de l'eau. Inutile je te dis, comme tu peux le voir même mes cheveux se révoltent, je suis juste moi, mais tu vas être déçue, le moi ne vaut rien...
C'est de qui, c'est de toi ?
non non, mais je trouvais que ça allait bien avec touts les autres...
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